Vous trouverez ici les livres qu’on aime lire et relire, qui font nos références, que l’on conseille souvent aux familles… Rien d’exhaustif, bien sûr, mais nos essentiels !
Les livres sur le haut potentiel
La femme surdouée, double différence, double défi
Monique de Kermadec
Présentation de l’éditeur :
Il existe de grandes différences entre les hommes et les femmes dans la façon d’être surdoué et de vivre cet état. Les femmes à haut potentiel ne répondent pas de la même manière que les hommes aux contraintes d’une société dans laquelle les schémas de réussite sont encore imprégnés de sexisme. Le défi est double pour elles : dans un monde fondé sur l’image d’une femme au corps parfait et non d’une femme dotée d’un cerveau, il leur faut réussir à articuler leur féminité et leur intelligence et se faire accepter.
En se fondant sur les dernières études sociologiques et scientifiques, et sur de nombreux exemples de patientes, Monique de Kermadec met en lumière les nombreuses barrières sociales et professionnelles auxquelles se heurtent ces femmes qui se sentent en décalage. Elle leur donne des clés pour optimiser leur potentiel afin d’arriver à assumer le rôle qu’elles pourraient avoir dans notre société pour le bénéfice de tous.
Mon commentaire personnel :
J’adore TOUT ce qu’a écrit Monique de Kermadec. C’est une femme exceptionnelle. Si vous avez l’occasion de la rencontrer et de l’écouter en conférence, foncez ! Ce livre sur la femme surdouée est d’une finesse rare et éclaire bien des maman qui se questionne encore sur « comment j’ai fait pour enfanter un petit numéro pareil ? »
https://www.amazon.fr/Femme-surdou%C3%A9e-Double-diff%C3%A9rence-double/dp/2226445749
Les livres sur la dyspraxie
Mon cerveau ne l’écoute pas
Sylvie Breton, France Leger
La dyspraxie, estime-t-on, touche environ 6 % des enfants. Il s’agit d’un trouble du « comment faire », c’est-à-dire un trouble de la planification et de la coordination des mouvements. Ainsi, un enfant dyspraxique met souvent ses vêtements à l’envers et son écriture, malgré tous ses efforts, demeure ardue et maladroite. Rédigé dans un style clair, Mon cerveau ne m’écoute pas a vu e jour grâce à la rencontre de deux visions qui s’influencent et se complètent : celle du parent (Sylvie Breton) et celle de l’ergothérapeute (France Léger), des expertises qui allient vécu et connaissance, avec un regard venant tantôt de l’intérieur, tantôt de l’extérieur. De l’annonce du diagnostic jusqu’à l’adolescence, un guide qui contient non pas des recettes magiques pour « effacer » la dyspraxie, mais de précieuses clés pour mettre en œuvre un accompagnement sur mesure. Un ouvrage qui constitue à la fois un guide et une source d’inspiration, tant pour la famille que pour les intervenants des secteurs de la santé et de l’éducation. Une écriture à quatre mains qui convie le lecteur à faire le choix du bonheur en dépit de l’incertitude et des embûches liées à ce trouble neurologique.